Ici, quelques albums thématiques au-delà des frontières locales que l'association Soissonnais 14-18 vous propose.
Notre Itinéraires photographiques (avec © Soissonnais 14-18) présente des clichés signés Alain Puech, membre de l'association, photographe de métier.
Il s'agit de clichés issus de ses reportages 14-18 depuis 2003; manifestations, monuments aux morts, cimetières, blockhaus, forts, carrières,...
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Animations historiques et mécaniques sur le terrain et dans les vergers de la Ferme de Navarre à Vincy-Manœuvre, près de Meaux. Au RDV de la 10ème édition, en 2024, des rassemblements de véhicule rares, civils ou militaires (des deux guerres entre autres) notamment, à propulsion chenillée, leurs évolutions et les groupes de reconstitution.
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Situé sur la commune de Marnes-la-Coquette, à proximité du parc de Saint-Cloud, le Mémorial américain rend hommage aux aviateurs de l’escadrille Lafayette, notamment à ceux morts au combat. Construit avec des fonds privés américains et français sur un terrain offert par la France, il est inauguré en 1928 dans la mesure où à l’issue du conflit, les états-majors et les gouvernements français comme américains, souhaitèrent perpétuer et entretenir la légende de l’escadrille, symbole de l’excellence de l’alliance franco-américaine (née en 1777 et renouvelée en 1914). Les aviateurs américains volontaires combattirent dans les rangs français dès 1914, puis en 1916 le service aéronautique français décida de rassembler tous les pilotes américains dans une même escadrille, placée sous le commandement d’un capitaine. Ainsi, l’escadrille n°124 est créée en avril 1916 ; baptisée escadrille La Fayette. Elle choisit comme emblème une tête de chef sioux, symbole de force, de combattivité et de courage que l’on retrouve dans les édifices su site.
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Septembre 2023, RDV des associations pour l’histoire vivante de la Bataille de la Marne avec 300 personnes en lice pour les présentations et représentations dans le parc du Musée de la Grande Guerre de Meaux. Tenues de diverses nationalités, matériel militaire à foison, bivouacs de soldats avec roulante, réparations de véhicules et déplacement du char Saint-Chamond, … animent entre autres les campements au moment du passage du Photographe
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Dès septembre 1914, les Allemands fortifièrent et utilisèrent la Butte meusienne comme observatoire au Nord-Ouest de Verdun. A plus de 300 m, dominant le village de Montfaucon-d'Argonne détruit lors de la Grande guerre, ce point culminant de l'Argonne présente aujourd’hui notamment les ruines de l’église, les vestiges du champ de bataille avec ses bunkers et, inauguré en 1937, le monument-colonne commémoratif américain de l’offensive victorieuse Meuse-Argonne lancée le 26 septembre 1918 où la Liberté trône à près de 60m de haut.
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L’important réseau de tranchées et le no man's land avec son squelette de l'arbre du danger témoignent du champ de bataille des Terres-Neuviens : ici, à Beaumont-Hamel, le 1er juillet 1916, à 9h15, 1er jour de la Bataille de la Somme, les hommes du Newfoundland Regiment se lancèrent à l'assaut des lignes ennemies et se trouvèrent pris sous le feu des mitrailleuses allemandes. Une demi-heure plus tard, 86% des effectifs étaient morts, blessés ou disparus. Les classiques monuments de la 29ème Division britannique, de la 51ème Division écossaise, les trois cimetières et la butte du Caribou, insigne du Royal Newfoundland Regiment, s’offrent au regard. Le centre d'interprétation complète la visite et ce reportage est justement égrené des dessins (source fournie prochainement) observables dans ce centre d’accueil.
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Aujourd’hui, l'association War and Memory a reconstitué un campement et une tranchée allemandes sur Hargicourt, village de l’Aisne envahi par les Allemands dès 1914 au nord de Saint-Quentin. Hargicourt devient en 1916, lors de la Bataille de la Somme, lieu d’accueil de prisonniers russes et roumains chargés de creuser les tranchées de la ligne Hindenburg, en direction de Bellicourt et lors du repli stratégique allemand de mars 1917 vers cette ligne de défense, l’occupant détruit le village. Les batailles de reprises font rage en 1917 et 1918 et les Australiens, puis Britanniques et Américains, s’y illustrent et leur mémoire s’exprime au cimetière militaire et au British War Memorial and Cemetery de la commune.
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Maurice Genevoix, écrivain combattant auteur de cinq récits autobiographiques, Ceux de 14, est entré au Panthéon le 11 novembre 2020. Un hommage national lui a été rendu, véritable reconnaissance de la nation à l’écrivain témoin de la Grande guerre… et à tous ceux de 14. « Écrire pour donner un nom, une voix à ces inconnus, morts en héros ». Maurice Genevoix, porte-voix consacré par le Goncourt qui décrivait l’enfer du front, entre autres sur la crête des Eparges, a rejoint les grands Hommes et grandes Femmes de la République pour parachever les commémorations du Centenaire.
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Livrée en 1877, elle fut construite à 108m d’altitude sur une butte occupée par les troupes prussiennes assiégeant Paris en 1870. Sur un espace de deux hectares, elle renforce le plan de fortifications Séré de Rivières de la Seconde ceinture de Paris en s’ajoutant aux forts d’Andilly à Montlignon et de Montmorency. A l’origine, dotée de pièces d’artillerie, elle était servie par une garnison de 150 militaires environ. En mars 1918, son artillerie anti-aérienne assurait la défense de l’aéroport du Bourget. Temporairement occupée à la Seconde Guerre mondiale, elle redevient ensuite lieu militaire avec radars aériens.
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Commémorer la libération de Nampcel les 18 et19 août 2018 s'est organisé à l'abri du Kronprinz et autour. Dans le cadre du Centenaire 1918-2018 de nombreuses associations proposaient reconstitutions civiles et militaires (dans le poste de commandement bâti par les Allemands en 1914), matériel militaire d'époque français et allemand, visites commentées de l'abri du Kronprinz, exposition sur les combats de l'été 1918 avec les chars Renault FT, marche et hommage au lieutenant Desjardins tué le 18 juillet 1918.
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Lieu de combats victorieux de juin1918 lors de la grande contre-offensive alliée de 1918, où la 2e D.I. américaine, notamment du 23e R.I. et la 4e brigade des marines, s’illustra contre les forces allemandes retranchées dans le secteur de Château-Thierry. Trois semaines de combats farouches leur permirent de déloger les Allemands. Situé au sud-ouest du village de Belleau, derrière la nécropole militaire américaine, il fut renommé dès 1918 Bois de la Brigade des Marines. Presque 100ha de bois permettent aujourd’hui au promeneur de contempler des traces de tranchées et d’obusage, des vestiges matériels, des pièces d’artillerie, un mémorial en forme de stèle de granit noir au bronze honorant les marines attaquant.
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Officiellement dénommée «cimetière Aisne-Marne", cette nécropole abrite 2289 sépultures de soldats principalement tués lors de la seconde offensive de la Marne, sur la colline le dominant, Belleau Wood- Le Bois Belleau (ce bois, devenu Mémorial, jouxte le cimetière). La superficie de 21 ha du cimetière lui-même couvre des zones de tranchées de la ligne de front creusées par le 2e D.I. en 1918 et correspond à l’emplacement d’un des cimetières provisoires. Aujourd’hui une chapelle s’élève au-dessus des tombes et les scènes historiées de ses colonnes traitent des différentes unités combattantes. L'American Battle Monuments Commission gère le site.
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Face à face dans la vallée de l'Oise, rive gauche et rive droite les troupes allemandes et françaises s'ancrent dans le sol et construisent des abris bétonnés pour bloquer la ligne Ribécourt-Dreslincourt-Pimprez-Bailly-Tracy-Carlepont et joindre les lignes des plateaux boisés et leurs carrières sous-minant les pentes. Les vestiges actuels aux bords du fleuve ou aux abords des versants permettent au randonneur de suivre le ligne de front et de découvrir notamment le plus connu des ouvrages : l’abri de la section allemande de projecteurs, le S.Z.247 (Scheinwerfer-Zug) orné en creux d’une croix de fer.
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Enjeu stratégique entre les Vosges et la plaine lorraine, ce champ de bataille proche de la nécropole de Badonviller vit s’accrocher les troupes françaises et allemandes. Désigné par les militaires comme la Cote 542, les Allemands en entreprirent la fortification dense en 1915(voie ferré, abris bétonnés, hôpital, chapelle, postes de mitrailleuses, téléphérique,…) mais cela n’empêcha pas les troupes françaises d’attaquer sans relâche et de mener elles aussi la guerre des mines (plus de 50 mines creusées sous un front de 300m).
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Plus de 14 000 soldats américains reposent dans cette terre de Meuse, lui valant le peu enviable titre de plus grand cimetière militaire américain européen. La plupart des combattants enterrés furent décimés lors de la dernière offensive de la Grande guerre, entre septembre et novembre 1918, lors de l'offensive Meuse-Argonne. La chapelle est ornée de vitraux représentant les unités américaines engagées et de la carte de l'offensive victorieuse.
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Site de tir d’un canon de marine construit par les Allemands, une fois le front figé en 1916 où sont visibles la plateforme bétonnée avec sa cuve en demi-cercle, ses bouches des soutes à munitions et le réseau de galeries et salles souterraines. La cuve orientée plein Sud accueillait une pièce d’artillerie de calibre 38 cm et de longueur 17 mètres, installée en mai 1916 sur châssis métallique (Bettungsschiessgerüst). Ce canon 38 SK/L 45 reposait sur l’affût pivotant situé au centre du demi-cercle plaqué de métal pour que les roulements s’opèrent en s’appuyant aussi sur les gradins. Armé par des artilleurs de marine, le canon avait une portée d’une quarantaine de kilomètres: les objectifs étaient les voies ferrées françaises vers Sainte-Ménehould. Peu de tirs seront effectués. Les Allemands démontèrent le canon dès mars 1917.
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Fort belge construit pour défendre Liège entre 1888 et 1891. Atypique par rapport aux forts français Séré de Rivières du moment, celui-ci fut construit en béton de type non armé. Il est devenu nécropole nationale car ses défenseurs y sont enfouis sous les décombres depuis sa destruction lors de l’explosion d’un des magasins à poudre – construit trop près de la surface et atteint par l’artillerie allemande - le 15 août 1914.
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Situé sur la commune du même nom, Bony est en fait le cimetière américain de la Somme. Plus de 1800 combattants y reposent; ceux tombés lors de l’offensive allemande du printemps 1918 et ceux en septembre 1918 sur ce site-même. Aux croix blanches en marbre échelonnées sur la pente menant au mât de la bannière étoilée, s’ajoute la chapelle Art déco, ici observable au travers de gros plans de ses sculptures (aigle, équipement militaire). Le mémorial de Bellicourt, en forme de mur, est situé, lui, à presque 2 kilomètres du cimetière et, à travers sa carte des opérations, est dédié aux unités américaines combattantes localement. The World War I Somme American Cemetery and Memorial in France is sited on a gentle slope typical of the open, rolling Picardie countryside. The 14.3-acre cemetery contains the graves of 1,844 of our military dead. Most lost their lives while serving in American units attached to British armies, or in operations near Cantigny. The headstones, set in regular rows, are separated into four plots by paths that intersect at the flagpole near the top of the slope. The longer axis leads to the chapel at the eastern end of the cemetery. (American Battle Monuments Commission)
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Le Bade-Wurtemberg, land limitrophe du territoire français, est parsemé, à l’identique de l’hexagone, de nombreux monuments aux morts. Un circuit au plus proche de la frontière, permet, à travers principalement le fossé rhénan, et une petite incursion en Forêt-Noire, de parcourir une dizaine de villages (Ehrensetetten, Elsach, Grissheim, Ihringen, Jechtingen, Kirchzarten, Meissenheim, Schutterwald, Oberweir, Weisweil). Au-delà de ces détails de monuments très historiés, alors une découverte plus globale émergera, permettant la perception de leur environnement urbain, la contemplation en pied, et la prise en compte du type de construction choisie.
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Situé boulevard Washington, sur un espace concédé à perpétuité en 1917, ce cimetière, The Suresnes American Cemetery, accueille des morts militaires des deux conflits mondiaux. Plus de 1500 tombes de combattants américains morts pendant la Première Guerre mondiale, dont des soldats inconnus, s’alignent devant une chapelle et un mur à la mémoire des disparus. Ce site, de manière inhabituelle, est, non pas en lien avec les champs de bataille, mais avec les hôpitaux parisiens proches. The 7.5-acre cemetery contains the remains of 1,541 Americans who died in World War I and 24 unknown dead of World War II. Bronze tablets on the walls of the chapel record the names of 974 World War I missing. Rosettes mark the names of those since recovered and identified (American Battle Monuments Commission).
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Assortiment de pierres gravées en mémoire de combattants allemands rencontrées dans les cimetières ou isolées dans les massifs forestiers de l'Argonne, la Champagne, l'Alsace. Stèles imposantes ou plus modestes, leurs épitaphes s'y lisent encore aisément. Vous y reconnaitrez certainement les Eparges, la Chapelotte, l'Hartmannswillerkopf,...
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Accessible au public depuis 2009, les visites guidées permettent au visiteur d’y découvrir un patrimoine bâti pluri-centenaire, principalement marqué par les vestiges de l’abbaye Saint Vanne du XIIème siècle et les casemates Séré de Rivières Nord et Sud en opus de briques rouges conçues comme un des éléments de fortification entre 1890 et 1894 reliés à la Citadelle basse.
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Observatoire avancé dans la plaine de la Woëvre, au Sud-Est de Verdun, occupé et solidement fortifié par les Allemands à partir de septembre 1914, il est l’objectif fixé par les Français pour leur reconquête de la mi-février à la mi-avril 1915 afin de réduire le saillant de Saint-Mihiel. Cette bataille des Eparges, notamment souterraine (guerre des mines), ne permet pas aux troupes françaises d’atteindre le point culminant (point X à 346m), mais la crête est reprise pour partie et après le printemps 1915, les combats se poursuivront inégalement jusqu’à la libération par l'offensive américaine de septembre 1918. Monuments, cratères de mine, nécropole du Trottoir et blockhaus jalonnent aujourd’hui ce site de mémoire.
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Les armées allemandes et françaises stabilisées de mi-septembre 1914 à mars 1917 et mars 1918 à août 1918 au Nord Est de l’Oise et Sud de la Somme, mènent des travaux d’aménagements sur la ligne du no mans’s land et les lignes arrières. Au-delà de Dives, Lassigny et Candor, Beaulieu-les-fontaines et Tilloloy présentent des vestiges encore intacts du champ de bataille puisque situés en zones boisées: abris bétonnés destinés au commandement, aux munitions, aux observateurs, mitrailleurs et artilleurs, parfois surhaussés des décorations – moulures ou empreinte en creux d’obus ou croix de fer – côtoient, entre autres, une piscine allemande installée sous un pigeonnier et une guérite, française construite avec une infrastructure de tôle de fer très répandue pour un seul occupant.
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La Main de Massiges est une position stratégique de la Marne, charnière entre les fronts d’Argonne et de Champagne. Colline naturellement creusée de 7 ravins, elle fut fortifiée par les Allemands dès septembre 1914 qui en disputèrent la crête, la cote 191, aux Français. L’infanterie coloniale y perd des milliers d’hommes durant les nombreuses attaques de 1914-1915. La guerre des mines y fit même rage en 1915, mais les troupes françaises ne purent reconquérir la totalité de la position qu’en 1918, avec l’appui américain. Une association y reconstitue depuis 2008 des tranchées et abris, dans la craie.
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Construit entre 1876 et 1879 par le général Séré de Rivières, ce fort ceinture Verdun au Nord-Est, sur la rive droite de la Meuse. Une opération de bétonnage de la maçonnerie simple, le rendit avant le début du XXè siècle plus résistant. Il subit un intense bombardement (près de 30 000 obus de tous calibre au cours du conflit) pendant la bataille de Verdun essentiellement et le renforcement bétonné remplit son rôle pour protéger les plus de 1000 hommes présents. Le fort ne sera jamais pris par les Allemands.
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Le fort de Manonviller, dans le Grand Est, non loin de Nancy, est un ouvrage Séré de Rivières mis en service en 1892, et aussitôt modernisé (avec guérites blindées, tourelles et observatoires cuirassés). Imaginé pour stopper l’avancée allemande en cas d’attaque sur la ligne de la Moselle, proche de la frontière (une dizaine de kilomètres à vol d’oiseau), il est attaqué dès le 23 août 1914 et chute en un temps court. Sa garnison de plus de 700 hommes, coupée des armées françaises qui refluent, s’enferme dans le fort. Le bombardement intense du fort, entre autres par 420mm, cause quelques dégâts (effondrements, brèches, armement endommagé) et instille surtout un sentiment d’impuissance à la garnison. Le drapeau blanc est hissé le 27 août 1914 pour ne pas sacrifier inutilement la garnison en arrière de l’avancée allemande, non sans avoir contribué à retenir un tant soit peu les troupes ennemies et leurs pièces d’artillerie dans la bataille du Grand Couronné. Les Allemands détruiront aussitôt le fort à l’explosif pour le rendre inutilisable; un seul de ses casernements servira de base arrière ponctuelle française pendant la suite du conflit.
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La carrière du Chauffour (ancien emplacement de four à chaux), située en arrière du front du Noyonnais (Oise) recèle de très nombreux graffitis des soldats français, pour partie œuvres signées d’artistes connus (Leclabart, Cadars, Bucher) dont une chapelle souterraine, un sphinx, une Jeanne d’Arc, des cavaliers, les Parisiennes, une croix de guerre et une Légion dans les parties à ciel ouvert. Des logements soignés d’officier ont également été aménagés autour de la cour intérieure. La végétation a aujourd’hui pris place sur les parties ouvertes.
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Madame Bellouin, responsable de la Caverne du Dragon - Musée du Chemin des Dames, a sollicité des membres de Soissonnais 14-18 pour guider l'équipe de tournage sur les lieux sélectionnés. Une équipe de télévision allemande s'est déplacée en décembre 2013 pour tourner un reportage sur une partie du parcours de l'IR 56 qui s'est battu à Hurtebise en 1917.
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Le 4 juillet, à Belloy-en-Santerre, un hommage à cette bataille méconnue a été rendu avec 70 musiciens de la musique de la Légion étrangère et presque 300 représentants des autorités politiques et militaires d’autres pays, représentant les Etats des soldats tués : cérémonie au monument aux morts, messe, dépôt de gerbes à la nécropole de Lihons, spectacle musical à Faÿ. La mémoire des 2000 soldats composant le régiment de marche de la Légion étrangère qui attaquèrent Belloy et dont 900 furent fauchés par la mitraille allemande le 4 juillet 1916 fut évoquée, dont celle des deux combattant écrivains, Alan Seeger et Camil Campanyà.
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Plusieurs éléments constituent ce promontoire face à Douaumont, au-delà du fort lui-même, tels un réseau de boyaux, une batterie, un abri-caverne, une tourelle à éclipse Bussière de 155mn, des entrées pour les blocs de tirs. Le fort de Souville, lui aussi inclus dans la ceinture fortifiée de Verdun, fut construit dans le système Séré de Rivières à partir de 1876, puis recreusé entre 1888 et 1890. C’est en 1916 que le fort subit des attaques allemandes dévastatrices qui amèneront les défenseurs français à en renforcer la défense : trois casemates Pamart sont ajoutées par les « travaux de 1917 » et un tunnel rejoint la tourelle. Aujourd’hui l’ensemble est plutôt englouti dans la végétation.
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Le Fort de Douaumont, construit à partir de 1884 dans le système Séré de Rivières pour fortifier la ville de Verdun, fut modernisé à répétition si bien qu’en 1914 il est considéré comme pivot de la ceinture fortifiée. A 3 niveaux, le plus vaste de la ceinture verdunoise, doté de pièces d’artillerie performantes, mais peu garni en hommes, il tombe aisément – sans combat - aux mains des Allemands le 25 février 1916 et ne pourra être repris, après de nombreuses tentatives acharnées et coûteuses en vies humaines, que le 24 octobre 1916.
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Le cimetière militaire de Thiaucourt-Regniéville, le World War I St. Mihiel American Cemetery and Memorial, contient les tombes de 4158 américains morts exclusivement lors du premier conflit mondial. La plupart d’entre eux ont perdu la vie lors de l’offensive du 12 au 16 septembre 1918 permettant la réduction du saillant de Saint-Mihiel. Situé au cœur de ce saillant, ce cimetière fut d’abord un cimetière provisoire avant de devenir la troisième (en importance) nécropole américaine européenne de la Grande Guerre. Inauguré en 1937, il couvre 16 hectares et le promeneur peut arpenter 4 carrés bordés, au fond, d’une colonnade.
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Située en Woëvre méridionale, le village de Flirey a été l’objet d’une âpre bataille du 19 septembre au 11 octobre 1914, victoire stratégique allemande. Son église XIXè siècle Saint-Etienne, encore debout en 1916, fait partie, en fin de conflit, des vestiges. Le village détruit devient un lieu de mémoire en hommage à tous les citoyens civils et militaires; le village neuf se reconstruit à côté. Les ruines ont été valorisées et leur situation proche de la nécropole nationale, en bordure du village reconstruit, les place au coeur du circuit touristique du Saillant de Saint-Mihiel.
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Marquée par les combats de 1915 les terres de l'Artois résonnent encore sous les pas du promeneur entre Notre-Dame-de-Lorette, Carency, l’église détruite d’Ablain-Saint-Nazaire, le cimetière anglais du Cabaret Rouge, le cimetière français de la Targette, les cimetières allemand et du Zivy Crater de Neuville-Saint-Vaast, le Mont Saint-Eloi, Vimy et Souchez.
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Ce cimetière, créé initialement par les Allemands pendant leur occupation de la ville de Cambrai (26 août 1914 - 9 octobre 1918), regroupe aujourd’hui les tombes de plus de 10 000 soldats allemands. S'y trouvent également les corps de Russes, Roumains et Britanniques. Il présente la particularité de mettre en union les monuments et les tombes des différents adversaires ! Ainsi, le monument avec casque anglais est entouré de tombes allemande et son pendant, avec un casque allemand, est dans le carré britannique.
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Le 19 septembre 2015, l’aviateur Georges Guynemer, As de l’aviation française durant la Première Guerre mondiale, a été à l'honneur. Une stèle fut entre autre inaugurée sous le passage de la Patrouille de France et des démonstrations de combats aériens. Auréolé de 54 victoires, c'est à Septmonts, le 19 juillet 1915, que l'aviateur avait remporté sa première victoire aérienne à bord de son Morane-Saulnier, en abattant un avion allemand au-dessus du village.
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Les vestiges de sept villages sont observables à l’intérieur du terrain militaire de Suippes, dans la Marne, et leurs noms évoquent à eux seuls les combats de l’hiver 1915, lors de la bataille de Champagne : Hurlus, Ripont, Tahure pour ne pas tous les citer. Les combats y opposèrent Français, Russes et Américains aux troupes allemandes jusqu’en octobre 1918.
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Dans l'arrière-pays du Priesterwald (Bois -le-Prêtre) se concentraient, notamment autour de Vilcey-sur-Trey, de nombreux cantonnements allemands dès septembre 1914. Ils s'étageaient à contre-pente des vallons et offraient divers équipements, dont les sources captées Kühlewein-Brunnen de l'IR363, Kandler Quelle, Putter Quelle, et Von Ordmann Quelle.
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11 685 corps de soldats allemands de la Première Guerre mondiale reposent dans ce cimetière situé à Thiaucourt-Regniéville dans le département de Meurthe-et-Moselle, en Lorraine. Ce cimetière a été créé en septembre 1914 par les troupes allemandes après les combats de la Woëvre et, après la guerre, des tombes de fortune dispersées dans 65 municipalités ont été ajoutées, incluant une fosse commune (2980 soldats allemands et 2645 soldats inconnus).
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Le Fort de Vaux, construit entre 1881 et 1884 dans le système Séré de Rivières pour fortifier la ville de Verdun, fut modernisé entre 1888 et 1906, avec notamment une carapace de béton. Désarmé en 1915, il est un ouvrage sans armement lourd au moment des assauts allemands. Il est resté le symbole de la résistance héroïque dans la bataille de Verdun en juin 1916.
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L’ouvrage de Froideterre, élément fortifiant Verdun sur la partie Nord, a été construit entre 1887 et 1888, puis complété entre 1902 et 1905. Il se composait de 4 bâtiments dont la caserne principale et disposait de plusieurs pièces d’artillerie (tourelles à éclipse et canons de 75 en 1916, ou mitrailleuses) et proposait des parapets bétonnés. L’abri-caverne des Quatre cheminées, situé à 1km, devait être utilisé pour loger les troupes (long de 60mètres) mais lors de la bataille de Verdun, il fut réquisitionné pour servir de poste de secours et d'état-major. Ce massif fortifié permis aux Français de tenir au cours de l’été 1916 et de stopper l’avance allemande.
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Le 14 juin 2014 s’est déroulée l’inauguration, en présence des autorités de l'Aisne, des jardins de la mémoire et du monument des Crapouillots (petit mortier de tranchée) de Laffaux. Ce monument représentant un crapouillot a ainsi été restauré (après son foudroiement de 2007. Le site mémoriel illustre notamment la reprise en 1917 de ce point stratégique (le Moulin de Laffaux) occupé en septembre 1914 par les Allemands. Pour la visite expliquée: il faut se reporter aux commentaires du spécialiste dont la pédagogie est bien connue, Tanker: http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Pages-d-Histoire-Artillerie/Artillerie-Speciale-chars-d-assaut/artillerie-speciale-crapouillots-sujet_2078_1.htm
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Feste Wagner ("groupe fortifié du général Wagner")fut érigé par les Allemands entre 1904 et 1910 pour protéger la ville de Metz. Très bien organisé et armé (4 casernes, 15 coupoles d’observation, jonction des infrastructures par galeries souterraines), mais situé hors de la zone des combats pendant la Grande Guerre, il servit de simple base dans l’arrière-front, et fut livré aux Français après l’armistice. Ce fort (appelé fort de Verny) est aujourd’hui ouvert à la visite grâce à une association locale.
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L’armée allemande envahit la Belgique, pays neutre, le 4 août 1914 mais provoque la réaction d’Albert Ier , le «roi-chevalier». Ce pays connaîtra alors pendant 4 ans le front et l’occupation ennemie sur quasiment tout son territoire. Nombreuses sont ainsi les traces de la Grande Guerre encore visibles aujourd’hui .
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Dénommé dès 1914 Hartmannswillerkopf, ou plus simplement HK ou HWK, cet éperon rocheux qui domine la plaine d’Alsace à plus de 950 mètres devient pour les poilus "le Vieil-Armand". Il fut fortifié et aménagé en vue d’une guerre longue par les Allemands dans l’hiver 1914-15. Constituant un observatoire «des hauts», il fut disputé, notamment dans les plus farouches combats de 1915.
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Ce fort Séré de Rivières situé au Sud de Verdun, entièrement maçonné en pierres de taille, construit en 1878, résista en septembre 1914 aux bombardements et assauts de l’armée allemande, protégeant Verdun de l’encerclement. En 1918, il servit d'hôpital arrière pour les troupes américaines libérant le saillant de Saint-Mihiel.
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L'exposition Fusillé pour l'exemple, visible du 15 Janvier au 15 Mars 2014, propose de découvrir les "fantômes de la République" dans la salle des Prévôts de l'Hôtel de Ville de Paris. Autour de documents d'époque, et de documents de recherche, l'événement revient sur le fonctionnement de la justice militaire en temps de guerre.
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Circuit autour de la Haute-Chevauchée en passant notamment par Bolante et le ravin du Génie, camp du 1er Régiment avec cuisines, chapelle-citerne,abris reconstitués,...
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Promenades photographiques dans l'un des départements meurtris par la Grande Guerre (2 batailles de la Marne,offensives de Champagne notamment) avec des jalons divers: vestiges des villages disparus, objets muséographiques,stèles et monuments commémoratifs... Géographiquement, vous découvrirez ainsi le camp de Suippes, la Main de Massiges, le fort de Saint-Thierry, la chapelle russe de Saint-Hilaire, Souain, le Blanc-Mont, Sainte-Marie à Py, les vestiges des deux guerres du fort de la Pompelle...
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A Machemont dans l'Oise, les carrières de Montigny furent lieu de repos et hôpital de l'armée française dans le Noyonnais. Ce site qui associe habitats troglodytes et galeries souterraines des anciennes carrières d'extraction de pierres, garde trace de sculptures réalisées par les poilus.
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Lieu resté célèbre pour la bataille du Mont-Renaud qui se déroula de mars à avril 1918. Franck Grégoire et son équipe vous y présentent comment le 57è RI s'illustra pour défendre la route de Paris aux Allemands entrés à Noyon. (visite possible - y compris de la chapelle - lors des expositions et Journées du Patrimoine)
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Fort Séré de Rivières construit entre 1876 et 1880 sur la rive droite de la Meuse pour contrôler les Hauts de Meuse et les accès à Saint-Mihiel. Modernisé, il fut renforcé de cuirassements opérationnels en 1914.
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Dernier ouvrage fortifié de la place forte de Verdun (construit entre 1906 et 1908), entièrement en béton, situé au Sud de la ville. Des scènettes avec mannequins animent les lieux restaurés et ouverts au public.
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Obsèques nationales du dernier poilu, Lazare Ponticelli, le 17 mars 2008, avec hommage aux combattants de la Grande Guerre.
Ce dernier vétéran officiel avait combattu parmi les Garibaldiens dès 1914.
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Cimetière militaire allemand du Hellenwald, en Moselle, où reposent notamment des soldats tombés les 19 et 20 août 1914 lors de la bataille de Morhange. Plus de 4700 soldats sont inhumés (tombes et ossuaires).
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Creusée en 1917 par la 73ème DI dans le flanc de la côte 291 en Lorraine, l'ambulance chirurgicale souterraine servit en 1918 à recueillir les blessés jugés non transportables (située à proximité immédiate du front).
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Près du village lorrain de Leintrey la guerre des mines fit rage. Un des épisodes les plus connus concerne l'explosion du 10 juillet 1916: Les Allemands firent exploser 4 mines sous une partie de la tranchée "Belgique" où plus de 70 soldats du 162ème RI périrent, creusant des entonnoirs d'une soixantaine de mètres de diamètre.
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Feste Kaiser Wilhelm II ("groupe fortifié de l'Empereur Guillaume II": fort et batteries) érigé par les Allemands sur une sous-colline vosgienne dominant la plaine d'Alsace (destiné à croiser le feu avec le groupe fortifié de Strasbourg) à partir de 1893 (modernisé jusqu'en 1917).
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“Les tombes et monuments de guerre sont les grands prédicateurs de la paix”
Albert Schweitzer
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A l'issue du conflit ont été installées des verrières dans les mairies, les mémoriaux, les églises,... qui racontent le conflit et les souffrances des soldats et civils.
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Dans le Nord-Pas-de-Calais, des lieux résonnent encore des combats des Britanniques et Australiens, comme notamment Aubers, avec sa bataille des crêtes en mai 1915 pour soulager le front d'Artois,ou encore Fromelles,avec sa bataille de juillet 1916 pour opérer une diversion lors de la bataille de le Somme.
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Exposition sur les paysages du Chemin des Dames
au fort de Condé à Chivres-Val en 2007 par Alain Puech
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Inauguration du mémorial de la 42e division d'infanterie Rainbow (Arc-en-Ciel) à la ferme de la Croix-Rouge sur la commune de Fère-en-Tardenois, le 12 novembre 2011. Le régiment du 167ème Alabama a notamment combattu là les 25-26 juillet 1918.
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Inauguration le 10 novembre 2012
du monument aux morts restauré d'Ambrief
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Les collections aviation 1914-1918
2012
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Exposition sur les vestiges de la Grande Guerre dans l’Oise au salon du livre de Bresles en février 2006 par Alain Puech
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Enterrement du sergent Chemier et de son camarade du 8ème Zouaves à la nécropole nationnale d'Ambleny le 30 janvier 2007
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Cimetière allemand meusien en rotonde de Luzy-Saint-Martin (rappelant les combats du 27 août 1914)
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Cimetière américain Oise-Aisne, second en importance des cimetières de la Première Guerre Mondiale en Europe (plus de 6000 pierres tombales, notamment liées à l'offensive franco-américaine lancée le 18 Juillet 1918)
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Lignes situées au Nord de Marbotte, sur le saillant de Saint-Mihiel, en forêt d'Apremont et visitées grâce aux Amis de Vauquois.